Les bénédictions

    De Wiki Maria Valtorta
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    Bénir signifie "dire du bien" (Bene-diction). C’est donc une source d’où coulent le bon et le bien. Elle vient de Dieu le Père qui donne ainsi la vie[1]. Jésus bénit le pain de la dernière Cène qui devient Pain de la vie éternelle[2]. En retour, l’homme bénissant son Créateur lui signifie son adoration et son action de grâce : "Je bénirai le Seigneur en tout temps, sa louange sans cesse à mes lèvres[3]."

    Il existe différents types de bénédictions :

    1. Invocatrices. La bienveillance divine est invoquée sur des personnes ou des choses, pour les garder et les protéger dans la volonté du Seigneur. Il en est ainsi de la bénédiction des repas ou des enfants. Ce peut-être aussi des outils de travail. "il n’est à peu près aucun usage honorable des choses matérielles qui ne puisse être dirigé vers cette fin : la sanctification de l’homme et la louange de Dieu[4]"
    2. Constitutives d'un caractère sacré qui devient permanent et ne peut être détourné à des fins profanes comme la bénédiction des églises ou des calices.
    3. Un état intermédiaire vise les sacramentaux : « Signes sensibles et sacrés, qui tout en ayant une analogie avec les sacrements n’en sont pas. Ils sont porteurs d’une réalité spirituelle. Les consécrations et bénédictions, mais aussi les objets bénits, eau bénite, médailles, scapulaires sont des sacramentaux. »

    La bénédiction est généralement délivrée par l’intercession du pape, de l’évêque, du prêtre ou du diacre, mais elle peut être délivrée aussi par les parents envers leur famille. Tout baptisé est en effet appelé à être une "bénédiction" et à bénir, "mais plus une bénédiction concerne la vie ecclésiale et sacramentelle, plus sa présidence est réservée au ministère ordonné (évêques, prêtres ou diacres)"[5].

    Dans L'Évangile tel qu'il m'a été révélé

    Les bénédictions

    1. La bénédiction mosaïque de Jésus

    Le mardi 24 septembre 27 (7 Tishri 3788), toutes les campagnes de Galilée sont occupées au gai travail de la vendange. Au crépuscule, le travail terminé, les vendangeurs s’arrêtent pour écouter Jésus les enseigner sur la crainte de Dieu et son amour.
    Maintenant, vous êtes joyeux parce que l'année a été bonne, les moissons riches et la vendange abondante. Mais en vérité je vous dis que cette joie que vous éprouvez est moins qu'un grain de sable, en comparaison de la joie sans mesure que vous aurez quand le Père Éternel vous dira : "Venez mes sarments féconds, greffés sur la vraie Vigne. Vous vous êtes prêtés à toutes les opérations, même quand elles étaient pénibles, pour donner beaucoup de fruit, et maintenant venez à Moi, riches des doux sucs de l'amour envers Moi et le prochain. Épanouissez-vous dans mes jardins pour l'éternité entière". Tournez-vous vers cette joie éternelle. Attachez-vous fidèlement à la poursuite de ce bien. Avec reconnaissance, bénissez l'Éternel qui vous aide à l'atteindre. Bénissez-Le pour la grâce de sa Parole, bénissez-Le pour la grâce d'une bonne récolte. Aimez le Seigneur en reconnaissant ses bienfaits et soyez sans crainte. Dieu donne le cent pour un à qui l'aime."

    Jésus aurait fini, mais tous se mettent à crier : "Bénis, bénis ! Ta bénédiction sur nous !" Jésus se lève, ouvre les bras et dit d'une voix de tonnerre

    "Que le Seigneur vous bénisse et vous garde. Qu'il vous montre sa Face et ait pitié de vous. Que le Seigneur abaisse sur vous son Visage et vous donne sa paix. Que le Nom du Seigneur soit dans vos cœurs, sur vos maisons et sur vos champs." (EMV 108.6).
    Il s’agit de la bénédiction Mosaïque telle que la liturgie la perpétue, notamment le premier janvier. Elle a été donnée par Dieu à Moïse (Cf. Nombres 6,22-27) Jésus rajoute une bénédiction qui lui est propre et qui la rend présente dans les cœurs, les maisons et les champs. Jésus est ici le "prêtre" intercesseur, mais c’est le Père qui est source de la Bénédiction[6].

    2. Échange de bénédictions entre Jésus et le père de l'apôtre Thomas

    Le mardi 6 mars 29 (4 Adar II 3789), Jésus et les apôtres font halte à Rama de Judée , près de Jérusalem. C'est là que demeurent la sœur jumelle de l'apôtre Thomas, dont le surnom Didyme veut dire jumeau, ainsi que son père. Celui-ci interroge Jésus : Thomas marche-t-il dans la bonne voie. Jésus le rassure.
    "Sur toi la bénédiction de Jacob[7], la bénédiction du patriarche au juste parmi les fils : que le Tout-Puissant te bénisse par les bénédictions du ciel au-dessus de nous, par les bénédictions de l'abîme au-dessous, par les bénédictions des mamelles et du sein. Que les bénédictions de ton père surpassent celles que lui-même a reçues de son père, et qu'elles se posent sur la tête de Thomas jusqu'à ce que vienne le désir des collines éternelles, sur la tête de celui qui est le nazaréen parmi ses frères !"  

    Et tous répondent : "Qu'il en soit ainsi[8]."        

    "Et maintenant, Toi, ô Seigneur, bénis cette maison et surtout ceux qui sont le sang de mon sang" dit le vieillard en montrant les enfants. Jésus, en ouvrant les bras, entonne la bénédiction mosaïque et il y ajoute :      

    "Que Dieu, en présence duquel marchèrent vos pères, que Dieu qui m'a nourri depuis ma jeunesse jusqu'à ce jour, que l'ange qui m'a délivré de tout mal, bénisse ces petits, qu'ils portent mon Nom et aussi les noms de mes pères et qu'ils se multiplient largement sur la terre"  

    Et il termine en prenant le dernier-né des bras de sa mère pour le baiser sur le front en disant :  

    "Et qu'en toi descendent comme du miel et du beurre les vertus d'élite qui ont habité dans le Juste dont le nom t'a été donné (Joseph), en le rendant plein de vie pour les Cieux et orné comme le palmier l'est de ses blondes dattes et le cèdre de sa royale frondaison."  (EMV 363.3).      

    3. Jésus bénit les champs de Nicodème

    Le vendredi 4 mai 29 (4 Siwan (lyar) 3789), troisième année de sa vie publique, Jésus arrive sans se faire reconnaître près de la propriété que Nicodème possède à Emmaüs de la plaine dans une riche région agricole à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Jérusalem. C'est la fin de la moisson des blés qui traditionnellement a lieu cinq semaines après Pâque (Pessah), à la Pentecôte (Shavouot). Le travail accompli rend joyeux les moissonneurs. Nicodème a donné l'ordre, au nom du Seigneur Jésus, de laisser tomber abondamment des épis que les glaneuses attendent de ramasser.
    Nicodème, en vêtements courts, avance pendant ce temps sans apercevoir le Maître et il ordonne aux paysans de ne pas enlever un seul des épis qu'ils ont coupés. "Pour nous, nous en avons, du pain... Donnons le don de Dieu à ceux qui en sont privés. Et donnons-le sans crainte. Nous aurions pu avoir les moissons détruites par une gelée tardive. Il ne s'en est pas perdu un grain. Rendons à Dieu son pain en le donnant à ses enfants malheureux. Et je vous assure qu'elle sera encore plus fructueuse, à mille pour cent, la récolte de l'année prochaine parce que Lui a dit : "Une mesure débordante sera donnée à celui qui a donné"[9].   Les paysans, respectueux et joyeux, écoutent et approuvent le Maître. Et Nicodème, de champ en champ, de groupe en groupe, répète son bon ordre (EMV 407.4).       
    Quand la rencontre a lieu, Nicodème et les moissonneurs se mettent à genoux devant Jésus qui dit :
    "Oui. Dieu te bénit pour cet ordre. Quelle voix t'a dit que c'est une année de grâce, et pas l'année qui vient, par exemple ?" "...Je ne sais pas... et je sais... Je ne suis pas prophète, répond Nicodème. Mais je ne suis pas obtus et à mon intelligence s'est unie une lumière du Ciel. Mon Maître... je voulais que les pauvres jouissent des dons de Dieu, pendant que Dieu est encore parmi les pauvres... Et je n'osais pas espérer te posséder, pour donner une suave saveur et une puissance sanctificatrice à ces blés, à mes olives, et aux vignes et aux vergers qui seront pour les pauvres enfants de Dieu, mes frères... Mais maintenant que tu es ici, lève ta main bénie et donne ta bénédiction, afin que, avec la nourriture de la chair, descende sur ceux qui s'en nourriront la sainteté qui émane de Toi (EMV 407.5)"
    L'année de grâce dont parle Jésus est l'année sabbatique. Si le sabbat impose un repos tous les sept jours, l'année sabbatique (La Chemita) impose de laisser la terre se reposer tous les sept ans. C'est l'année où on libère le débiteur de ses dettes. Ce qui pousse dans les champs est propriété publique (ici les glaneuses). Aux croyants qui craignaient de mourir de faim pendant cette période, l'Éternel promit une bénédiction générant la surabondance (Lévitique 25,21). Toutes ces précisions soulignent la profondeur et l'authenticité de la scène quand Jésus bénit :
    Jésus ouvre les bras et dit :

    "Par la vertu du Seigneur, par le désir de son serviteur, que la grâce du salut de l'esprit et de la chair descende dans chaque graine, chaque grain de raisin, et toute olive ou en tout fruit, qu'elle rende prospères et sanctifie ceux qui s'en nourrissent avec un esprit bon. pur de concupiscence et de haine, et désireux de servir le Seigneur en obéissant à sa divine et parfaite Volonté."

    "Qu'il en soit ainsi[8]" répondent Nicodème, André, Jacques et les autres disciples...

    "Qu'il en soit ainsi" répète la petite foule, en se levant, car elle s'était agenouillée pour que Jésus la bénisse (EMV 407.5)".

    4. Jésus bénit la Création

    Le jeudi 16 mai 30 (27 Lyar ou Ziv 3790) est le jour de l'Ascension, Dernier jour de la vie terrestre de Jésus. À Gethsémani où il a réunit ses fidèles pour un adieu, Jésus délivre ses dernières consignes. Puis il les bénit en les englobant dans la Création et l'œuvre de Rédemption que le Père lui a donné d'accomplir :
    "Je vous bénis tous au moment de cet adieu, et je demande au Père de vous accorder la récompense de ceux qui ont consolé le douloureux chemin du Fils de l’homme.        

    Bénie soit la partie choisie de l’humanité qui existe chez les juifs comme chez les païens, et qui s’est montrée dans l’amour qu’elle a eu pour moi.        

    Bénie soit la terre avec ses plantes et ses fleurs, ses fruits qui tant de fois m’ont fait plaisir et m’ont restauré. Bénie soit‑elle avec ses eaux et ses tiédeurs, ses oiseaux et ses animaux qui bien des fois ont surpassé les êtres humains pour réconforter le Fils de l’homme. Béni sois‑tu, soleil et toi, mer, et vous, montagnes, collines et plaines. Bénies soyez‑vous, étoiles qui avez été pour moi des compagnes dans la prière nocturne et dans la douleur. Et toi aussi, lune qui m’as éclairé pour me diriger dans mon pèlerinage d’évangélisateur.        

    Soyez bénies, toutes les créatures, qui êtes l’œuvre de mon Père, mes compagnes en cette heure mortelle, les amies de celui qui avait quitté le Ciel pour enlever à l’humanité affligée les tribulations dues à la Faute qui coupe de Dieu.          

    Et bénis soyez‑vous, instruments innocents de ma torture : épines, métaux, bois, cordages tordus, parce que vous m’avez aidé à accomplir la volonté de mon Père !»      

    Quelle voix de tonnerre a Jésus ! Elle se répand dans l’air chaud et paisible comme le son d’un bronze qu’on a frappé, elle se propage en ondes sur la mer des visages qui le regardent de tous côtés (EMV 638.21)"

    Les non bénédictions

    Marie-Madeleine et La femme adultère

    Apprenez, ô hommes sans pitié. Si coupable que soit quelqu'un, il faut toujours le traiter avec respect et charité. Ne pas jouir de son anéantissement, ne pas s'acharner contre lui, même pas par des regards curieux. Pitié, pitié pour qui tombe ! [...] Mais l'homme, bien que j'aie dit : "Pardonne à ton frère soixante-dix fois sept fois" [4], ne sait pas pardonner deux fois.   Je ne lui (la femme adultère) ai pas donné la paix et la bénédiction parce qu'elle n'avait pas en elle ce complet détachement de son péché qui est requis pour être pardonné. Dans sa chair, et malheureusement dans son cœur, elle n'avait pas la nausée du péché. Marie de Magdala, après avoir goûté la saveur de mon Verbe, avait eu le dégoût du péché et elle était venue à Moi avec la volonté totale d'être une autre. Mais elle, elle flottait encore entre les voix de la chair et celles de l'esprit. [...] Tu veux savoir si ensuite elle s'est sauvée ? Ce n'est pas pour tous que j'ai été Sauveur. Pour tous, j'ai voulu l'être, mais je ne l'ai pas été car pas tous ont eu la volonté d'être sauvés. Et cela a été une des flèches les plus pénétrantes de mon agonie du Gethsémani (EMV 494.7).

    Les "malédictions"

    Doras et Judas

    Jésus maudit les champs de Doras en conséquence de sa traitrise envers sa parole donnée et de son inhumanité dans le traitement de ses serviteurs (EMV 109.10). Dieu peut-il donc maudire et similairement à la bénédiction, être une source d’où coulent le mal et le mauvais ? Plusieurs textes de l’Écriture le laisseraient entendre.

    Mais Jésus, dans un autre épisode où il affronte un Judas surpris en train de voler[10], affirme le contraire : "Le Sauveur ne peut maudire" (EMV 567.15) et il rajoute : je suis l’unique Force. Mais ma force n’est pas de la haine c'est de l'amour. Et l'amour ne hait pas et ne maudit pas, jamais. […] quand je viendrai séparer les agneaux des boucs, pour bénir les premiers et pour maudire, alors oui, pour maudire les seconds, pour maudire car alors il n'y aura plus de rédemption, mais gloire ou condamnation, pour les maudire de nouveau après les avoir déjà maudits en particulier à leur mort et à leur jugement particulier."

    Ainsi quand il maudit les champs de Doras, Jésus précise qu’il le remet "au Dieu du Sinaï (EMV 109.12)", à la Justice divine, celle que nous retrouverons au terme de nos vies, au terme de la Miséricorde, au terme de notre libre-arbitre.

    Quand Jésus, à la suite des Béatitudes, promet le malheur aux riches[11] il ne leur envoie pas pas le malheur pour les punir et encore moins se venger, il constate leur choix de se livrer aux conséquences de leurs actes. Dieu ne délivre pas du mal (mau-dire), il montre le mal, il prévient.

    Dieu ne crée pas le mal[12], mais il le permet. Dieu l’accorde comme une épreuve temporaire qui purifie et sanctifie.

    • Dès le paradis terrestre Dieu soumet l’Homme à la liberté de le choisir, mais Adam et Ève succombent avec leur descendance qui n’est pas laissée sans secours : c’est le Rédempteur.
    • Satan demande à Dieu d’éprouver la foi de Job[13]. Il éprouve alors tous les malheurs, mais pour mieux trouver tous les bonheurs au centuple au terme de son acte de foi (Job 23,10-11).
    • Satan demande à éprouver les apôtres à l’heure de la Passion (Luc 22,31), mais le Christ prie pour eux et aucun mal ne les atteint sauf pour celui qui a choisi sa perdition.

    L’épreuve est une purification, non une punition. "Après de faibles peines, de grands bienfaits les attendent, car Dieu les a mis à l’épreuve et trouvés dignes de lui" (Sagesse 3,5). À son terme l'épreuve comporte le triomphe de Dieu et comble celui qui a espéré. Le psalmiste affirme qu’elle conduit à la joie du salut : Peuples, bénissez notre Dieu ! Faites retentir sa louange, car il rend la vie à notre âme, il a gardé nos pieds de la chute. C'est toi, Dieu, qui nous as éprouvés, affinés comme on affine un métal[14]. Cette purification se retrouve aussi dans le Purgatoire, œuvre de la Miséricorde.

    Une autre permission est celle qui est contrainte par le libre-arbitre de l’Homme. Celui qui vit le mal intégral, l’Enfer, le fait à la suite d’une décision, non d’une punition[15]. Il ne veut pas de Dieu, il ne veut pas de ses bienfaits et persiste dans sa décision. Celui qui, dans sa vie, s’éloigne de Dieu, s’éloigne de sa protection.

    Ces explications semblent importantes pour comprendre les paroles de Jésus sur la bénédiction.

    La bénédiction dans l'œuvre de Maria Valtorta

    La bénédiction peut disparaître

    Dans la chaleur de l'été 27, Jésus et quelques apôtres font une halte chez un cultivateur qui s'exclame :
    "Et moi je suis heureux de t'avoir donné l'hospitalité pour une nuit. Je ne crains plus de malheur dans ma maison car ta bénédiction y est entrée." Jésus répond : "La bénédiction agit et persiste si les âmes restent fidèles à la Loi de Dieu et à mon enseignement. Dans le cas contraire, la grâce disparaît. Et c'est juste. Car s'il est vrai que Dieu donne le soleil et l'air aux bons comme aux méchants, pour qu'ils vivent, et s'ils sont bons deviennent meilleurs, et s'ils sont mauvais se convertissent, il est juste aussi que d'autre part, la protection du Père devienne châtiment pour le méchant afin de le rappeler par des peines au souvenir de Dieu (EMV 83.2)."

    La bénédiction de Dieu nécessite un cœur circoncis

    Dans sa catéchèse du 23 septembre 1943, Jésus lie le pardon des péchés à la bénédiction[16].
    "Je suis venu confirmer par ma vie et ma mort l’avertissement donné à plusieurs reprises par mes prophètes : ce que Dieu exige pour pardonner à ses enfants de plus en plus coupables et pour les bénir, ce n’est pas la circoncision matérielle, mais la circoncision des cœurs[17], de vos sentiments, de vos impulsions que le germe du premier péché transforme toujours en impulsions de chair et de sang ou de la plus haute luxure : celle de l’esprit."

    La bénédiction de Dieu est proposée à tous

    Notes et références

    1. Cf. CEC § 1078 | Jacques 1,17.
    2. Matthieu 26,26
    3. Psaume 33 (Hébreu 34),1.
    4. Sacrosantum concilium § 61 | CEC § 1670.
    5. CEC § 1669.
    6. Cf. CEC § 1077 et suivants.
    7. Bénédiction de Jacob sur Joseph qui se trouve en Genèse 49,25-26.
    8. 8,0 et 8,1 Autrement dit Amen en hébreu. La liturgie chrétienne le traduit parfois en "Ainsi soit-il". Amen peut aussi signifier "en vérité" comme on le retrouve plusieurs fois dans les enseignements de Jésus rapportés par Jean : "Amen, amen, je vous le dit ..."
    9. Cf. Luc 6,38 | EMV 171.4.
    10. Comme le rapporte l'Évangile (Cf. Jean 12,6).
    11. Cf. Luc 6,24 par exemple.
    12. Cf.Jacques 1,17
    13. Job 1,8-12.
    14. Psaume 65 (Hébreu 66), 8-12
    15. CEC § 1037.
    16. Les Cahiers de 1943, 23 septembre, p. 316.
    17. Cf. Romains 2,29 et Jérémie 4,4.